jeudi 7 mai 2009

L'AFFAIRE ARTAUD. Une redondance nommée Bernard NOËL.

Parmi les critiques adressées à mon gros bouquin, celle qui vient en premier est l'argument de la redondance. - Est-elle si grande et si réelle ? Je n'en suis pas sûre et me suis déjà expliquée là-dessus (cf. ma réponse à Thierry Savatier).

Que pourrait-on élaguer ? Chaque fait, chaque événement, chaque "reprise" portent une coloration particulière. Fallait-il gommer cette dimension ?

Je me repose toutefois la question ? Qu'est-ce qui revient si souvent et dont on pourrait amputer ce livre ? La réponse, à l'évidence, tient en un nom : celui de Bernard Noël dont les propos reviennent constamment tout au long des pages. Alors de l'Affaire Artaud et de ce livre faut-il - pour cause de redondance - supprimer Bernard Noël ?

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