« Détail curieux, le livre ne comporte pas la moindre notice de « Remerciements » : pourtant, l'auteur a bien dû bénéficier de l'aide ou des conseils de diverses personnes ? » (Histoires littéraires, n° 39, 2010).
En lisant cela, cher(e) ANONYME des Histoires littéraires, je me suis carrément gondolée. Pliée en deux. J'en ressors toute fripée.
Qui donc aurais-je pu remercier ? L'écriture de ce livre a, tout d'abord, été secrète. Les personnes informées se comptaient (avec peine) sur les doigts d'une main.
Pour la rédaction de mes autres ouvrages sur Artaud (les six ouvrages précédents) je ne m'étais heurtée qu'à des « murs », des « portes claquemurées », des « peurs » et des conseils du style : « attention : terrain dangereux, allez voir ailleurs, chasse gardée, au secours, attention à vous ». Et j'en passe.
Alors vous imaginez la liste des remerciements que j'aurais pu dresser pour ce livre. Elle serait des plus rigolote. - Je vous conseille d'ailleurs l'examen de la liste de remerciements de la première édition de Antonin Artaud, Portraits et Gris-gris, en 1984. Elle avait fait beaucoup rire ceux qui étaient au parfum !
Cette simple remarque montre que mon interlocuteur(trice) n'entend rien à l'Affaire. Et qu'il (elle) a beau avoir lu ; il (ou elle) n'a rien entendu.
Allons : il faudra du temps encore avant ce livre puisse seulement être LU.
Une seule personne est, en l'occurrence, à remercier : CLAUDE DURAND qui a souhaité et voulu publier ce texte aux Éditions Fayard. Ce fut d'ailleurs le tout dernier ouvrage sulfureux publié par lui au moment de son départ de cette maison, en mars 2009. Un ouvrage qu'il m'a laissée conduire et écrire à ma guise. Il n'est pas intervenu sur son contenu et l'a intégralement publié.
Alors, comme l'écrivait récemment un internaute : L'Affaire Artaud, « passionnante et terrifiante » ? - Terrifiante en tout cas aussi pour ce qui concerne l'état de la critique.
Lien Histoires Littéraires
En lisant cela, cher(e) ANONYME des Histoires littéraires, je me suis carrément gondolée. Pliée en deux. J'en ressors toute fripée.
Qui donc aurais-je pu remercier ? L'écriture de ce livre a, tout d'abord, été secrète. Les personnes informées se comptaient (avec peine) sur les doigts d'une main.
Pour la rédaction de mes autres ouvrages sur Artaud (les six ouvrages précédents) je ne m'étais heurtée qu'à des « murs », des « portes claquemurées », des « peurs » et des conseils du style : « attention : terrain dangereux, allez voir ailleurs, chasse gardée, au secours, attention à vous ». Et j'en passe.
Alors vous imaginez la liste des remerciements que j'aurais pu dresser pour ce livre. Elle serait des plus rigolote. - Je vous conseille d'ailleurs l'examen de la liste de remerciements de la première édition de Antonin Artaud, Portraits et Gris-gris, en 1984. Elle avait fait beaucoup rire ceux qui étaient au parfum !
Cette simple remarque montre que mon interlocuteur(trice) n'entend rien à l'Affaire. Et qu'il (elle) a beau avoir lu ; il (ou elle) n'a rien entendu.
Allons : il faudra du temps encore avant ce livre puisse seulement être LU.
Une seule personne est, en l'occurrence, à remercier : CLAUDE DURAND qui a souhaité et voulu publier ce texte aux Éditions Fayard. Ce fut d'ailleurs le tout dernier ouvrage sulfureux publié par lui au moment de son départ de cette maison, en mars 2009. Un ouvrage qu'il m'a laissée conduire et écrire à ma guise. Il n'est pas intervenu sur son contenu et l'a intégralement publié.
Alors, comme l'écrivait récemment un internaute : L'Affaire Artaud, « passionnante et terrifiante » ? - Terrifiante en tout cas aussi pour ce qui concerne l'état de la critique.
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